Les robes en aluminium de la carrosserie Beltramelli pour la saison 4.

Quel est le thème cette année ?

Pascal Pani. Nous fêtons les 5 ans de l’événement. Le fil conducteur sera festif, avec un souffle pétillant et effervescent, à l’image des bulles de champagne, vin emblématique du territoire.

Comment sélectionnez-vous les créateurs ?

Pascal Pani. La sélection repose sur une volonté de diversité et d’excellence. Si la mode reste un pilier, d’autres entreprises et artistes sont invités : aquarelle, design, etc. En 2025, Enedis est partenaire pour la création d’un tableau avec des robes « électriques », pour lesquelles les artistes Michèle et Thierry Kayo-Houël – nos parrains et marraines – seront à l’œuvre.
Marie Béatrice Turpin-Padirac. Des entreprises locales comme Beltramelli (robe en aluminium) ou Garnica (robe en peuplier) ont participé à l’événement. Cette année, nous accueillons aussi les futurs artisans avec les organismes de formation Alméa et le Groupe Saint-Joseph. Chacun est poussé hors de sa zone de confort pour réinventer son savoir-faire !

Pourriez-vous nous rappeler l’ambition de L’effet Aube ??

Marie Béatrice Turpin-Padirac. Promouvoir tous les talents du département avec la figure imposée, pour les entreprises, d’adapter leur savoir-faire à un défilé de créateurs. Le spectacle, véritable show scénographié, se veut vitrine du talent aubois.
Pascal Pani. Les créateurs se surpassent ! Je repense à cette robe en aluminium qui a nécessité 500 heures de travail ou un kimono composé de 900 morceaux de miroir. L’effet Aube prouve que l’on peut aller au bout de ses rêves. Nous remettons deux prix : un Trophée de l’Élégance et une distinction à une association engagée pour la cause animale.

Comment a évolué la relation avec le public ?

Marie Béatrice Turpin-Padirac. Il est de plus en plus fidèle et nombreux. L’événement refuse jusqu’à 2 000 personnes chaque année ! La mise à disposition du Théâtre de la Madeleine (véritable écrin) par la Ville de Troyes, permet de rester proche et intimiste, de valoriser le lien direct entre les artistes et les spectateurs.

Pouvez-vous mesurer l’impact économique et culturel du défilé ?

Pascal Pani. L’effet Aube agit comme un tremplin pour les jeunes talents : certains ont lancé leur marque, intégré des circuits nationaux ou fondé leur entreprise. La collaboration avec les écoles, centres de formation et entreprises locales renforce les liens entre création, économie et transmission

Les robes en aluminium de la carrosserie Beltramelli pour la saison 4.

Quel est le thème cette année ?

Pascal Pani. Nous fêtons les 5 ans de l’événement. Le fil conducteur sera festif, avec un souffle pétillant et effervescent, à l’image des bulles de champagne, vin emblématique du territoire.

Comment sélectionnez-vous les créateurs ?

Pascal Pani. La sélection repose sur une volonté de diversité et d’excellence. Si la mode reste un pilier, d’autres entreprises et artistes sont invités : aquarelle, design, etc. En 2025, Enedis est partenaire pour la création d’un tableau avec des robes « électriques », pour lesquelles les artistes Michèle et Thierry Kayo-Houël – nos parrains et marraines – seront à l’œuvre.
Marie Béatrice Turpin-Padirac. Des entreprises locales comme Beltramelli (robe en aluminium) ou Garnica (robe en peuplier) ont participé à l’événement. Cette année, nous accueillons aussi les futurs artisans avec les organismes de formation Alméa et le Groupe Saint-Joseph. Chacun est poussé hors de sa zone de confort pour réinventer son savoir-faire !

Pourriez-vous nous rappeler l’ambition de L’effet Aube ??

Marie Béatrice Turpin-Padirac. Promouvoir tous les talents du département avec la figure imposée, pour les entreprises, d’adapter leur savoir-faire à un défilé de créateurs. Le spectacle, véritable show scénographié, se veut vitrine du talent aubois.
Pascal Pani. Les créateurs se surpassent ! Je repense à cette robe en aluminium qui a nécessité 500 heures de travail ou un kimono composé de 900 morceaux de miroir. L’effet Aube prouve que l’on peut aller au bout de ses rêves. Nous remettons deux prix : un Trophée de l’Élégance et une distinction à une association engagée pour la cause animale.

Comment a évolué la relation avec le public ?

Marie Béatrice Turpin-Padirac. Il est de plus en plus fidèle et nombreux. L’événement refuse jusqu’à 2 000 personnes chaque année ! La mise à disposition du Théâtre de la Madeleine (véritable écrin) par la Ville de Troyes, permet de rester proche et intimiste, de valoriser le lien direct entre les artistes et les spectateurs.

Pouvez-vous mesurer l’impact économique et culturel du défilé ?

Pascal Pani. L’effet Aube agit comme un tremplin pour les jeunes talents : certains ont lancé leur marque, intégré des circuits nationaux ou fondé leur entreprise. La collaboration avec les écoles, centres de formation et entreprises locales renforce les liens entre création, économie et transmission

L’effet Aube saison 5 : Capsules de lumière
Théâtre de la Madeleine à Troyes
Vendredi 21 novembre 17h30
Sur réservation
Mail : contact@effetaube.fr